vendredi 28 mars 2014

25-27 mars

À faire à la maison:

1) Lire l'article p. 68. Faire la compréhension écrite (y répondre pour vous; on mettra en commun en cours ) et préparer les questions  pour la compréhension orale (on mettra en commun en cours).

2) Voir le vocabulaire p. 70 (uniquement le vocabulaire sur la famille. Nous ferons les exercices ensemble).

3) Grammaire: voir le comparatif  et superlatif p. 72 et faire les exercices du livre.
Voir aussi ce lien si vous n'avez pas le livre :
http://juantortiz.wikispaces.com/file/view/fiche-comparaison.pdf

4) Petit exercice rapide pour mieux et meilleur:

http://www.estudiodefrances.com/fle-html5/grammaire/mieux-meileur.HTML

5) À me rendre: production écrite nº 10 p. 68.

Et n'oubliez de vous entraîner à chanter Ça sert à quoi l'amour?  de Piaf (voir YouTube: https://www.youtube.com/watch?v=aDOiWOlltzI  ce lien avec une belle animation).

Bon week-end
Patrick

vendredi 21 mars 2014

18-20 mars

Fait:

-livre p. 58 et 59 + grammaire p. 60 et 61.
- le but: créer une association et exposer ses objectifs.
- "Ce qui // ce que ...// ce dont ..., c'est" la mise en relief (voir aussi libre p. 36: la mise en relief avec pronom relatif). Description d'une photo avec ces structures.
- Le cas Dieudonné (peut-on rire de tout?).
- Exposé de Marcos.

A la maison:

- me rendre par écrit les statuts de votre association et/ou la production écrite (p. 59 nº 9)
- jeudi 27 Teresa fait un exposé...
Bon week-end.
Patrick

vendredi 14 mars 2014

Mooc évaluation

Bonjour à tous,
ce serait gentil de prendre 2 minutes pour répondre à ce questionnaire vu que nous avons tous travaillé plus ou moins à ce mooc.
Laure Chotel, professeur de FLE à Paris, a choisi de faire sa thèse sur l'activité des participants dans ce MOOC.
Le voici:
Vous avez suivi le MOOC avec un professeur et réalisé des activités en classe avec votre professeur : questionnaire 4. https://docs.google.com/forms/d/1_JT7CqyPtGj3DyMv55TcxhDtdfEx_gkvTPhxZn9m8HI/viewform
Merci à tous pour elle.
Patrick

11-13 mars

- Fait:
1) la négation (cf. exercices de l aphotocopie). Faire son autoportrait en utilisant le plus de négations possible + jeu du ni oui ni non.
2) Réflexion sur les erreurs les plus communes en français (cf. le lien de la semaine passée).
- Livre : les vignettes (cf.52 B) + vignettes de Plantu + débat: Peut-on rire de tout? Le cas Dieudonné en France.
-  Facebook pour les vieux: cf. la vidéo:

http://www.liberation.fr/video/2014/02/04/facebook-c-est-le-reseau-social-des-vieux_977904

- Commenter des photos avec la mise en relief: ce qui/ ce que / ce dont ..., c'est...

À la maison: 1) Renseignez-vous sur le cas Dieudonné (prenez des notes pour l'oral).
                      2) Cherchez une photo et commentez -la en utilisant le plus possible de mises en relief (pour ce dont, par exemple avec des verbes comme " parler de, se méfier de, se souvenir de, ...): le faire par écrit à me rendre ( 5 ou 6 phrases).
                       3) Faites le portrait de quelqu'un que vous n'aimez pas (une célébrité ou pas en utilisant le plus de négations possible).
                        4) En quelques lignes: l'identité virtuelle, c'est quoi? Quelle est votre identité culturelle?
Bonne semaine.
Patrick

mardi 11 mars 2014

Consuelo


 
J’aime

la liberté que les  peuples désirent et la révolution qui abolit les priviléges.

Je t’aime
mon petit gigolo de province, avec ton parfum que j’adore et ton manteau que je déteste et que ton corps déteste aussi.

J’aime les grands boulevards et les petites rues où nous nous promenons en hiver, avec notre parapluie ouvert et le vent sur nos visages.
Je t’aime, gigolo de la terre profonde, de la terre où l’argent ne brillait pas.

J’aime ton corps un et tes petites caresses quand j’allais chez moi et toi, tu m’aimais sans oublier le boulevard et les rues que nous avons déjà traversées.
J’aime les souvenirs de la jeunesse, pâles et presque oubliés, le champagne et les désirs.

Je t’aime autant que je veux, mon petit gigolo de province.
Consuelo                                                                                                                   

Je crois que l’hiver est une bonne saison. Je crois aux oiseaux quand ils reviennent au printemps. Je crois aux athlètes de l’hiver qui traversent les froids pays de l’ouest et qui, un beau jour, sont placés devant ma porte. Je crois donc à l’infinité du voyage et aux vieux plaisirs; les jeux, les lectures, la télé. Je crois que les pays de l’est sont grands, magnifiques. Je crois que leurs ciels ne seront pas toujours couverts. Je crois dans l’ensemble des opinions et aux vêtementes de couleurs. Je crois à la divinité. Je crois que dieu, s’il n’existe pas, est un bon allié  du désespoir. Je crois à l’espoir. Je crois au futur. Je crois en moi.
Consuelo

Les paysages intérieurs

Le blé, toujours le blé. Je roulais à vélo quand je traversais un petit chemin les terrains pleins de fruits finissaient et une terre immense et jaune me faisait sentir heureuse. J’allais plus vite qu’avant, quand les pommes qui semblaient des cadeaux de Noël étaient à ma gauche .  J’attendais toujours de voir ces champs-là où le blé formait une grande piste de grains et une idée de courage me donnait  de la plénitude. J’aimais le blé et  l’enfance, quand mes cheveux étaient blonds et que je rêvais à du pain et de la confiture pour goûter. Le blé, toujours le blé. J’imaginais que ma terre était le nord du pays et non le centre où les terrains de céréales ne sont pas grands et que je semblerais ainsi une grande princesse avec les blés dans l’imagination et face à moi dans les champs de Tolède.
Un beau jour, je suis descendue du vélo et je suis entrée dans les champs de blé. Aujourd’hui je peux sentir l’odeur du pain qui reposait dans ces grands terrains de blé.
Consuelo 

Il y avait des pierres. C’étaient les ruines d’un château près de mon village. La petite tour de l’hommage était toujours notre forteresse. Elle était moche mais avec une corde nous pouvions monter jusqu’à son sommet qui n’avait pas de toit. Il y avait des insectes qui montaient le long de la corde et des cris d’enfants qui les menaçaient. Je croyais entendre des bruits quand nous montions et aussi le zigzag de la corde qui nous montait sur notre ruine préférée. D’autre part, je me rapelle avoir écouter Pilar pleurer parce qu’il n’y avait que des pierres quand nous arrivions au sommet et le silence nous rendait complices du moyen âge, quand le château était –je suppose- plein de vie.
Consuelo

L’agneau sur la table
Sauce chaude à la bouche
Noël au chalandier.
Consuelo
La tasse vide
Le noir thé sur le sol
La pause café
Consuelo
Consuelo
 

vendredi 7 mars 2014

4-6 mars

Bonjour à tous,

d'abord allez voir dans Liens intéressants "les 7 erreurs à éviter pour les Espagnols" et pensez chacun à trois autres erreurs que l'on pourrait rajouter à cette liste.

Fait en cours:

- La voix passive (exercice corrigés) et  se faire + infinitif   (photocopie).

- révision de l'hypothèse type: "si tu étais artisan, quel objet aimerais-tu fabriquer?"

- A quoi ressemblera la television de demain: compréhension orale (A. p. 56) 
- Vu aussi livre: article p. 56 et aussi articles p. 62 (Sénat) et p. 64 (langue des signes). Lisez les articles que vous n'avez pas lus!!!
- Chanson: le téléfon de Nino Ferrer.
-

À la maison:

- je vous ai distribué deux phtocopies sur la négation:  faites les exercices A et B de la page 29.
- Avec l'aide du vocabulaire de la p. 52, répondez à cette question en défendant votre point de vue:

"la liberté de la presse est une utopie"....

- Phonétique: http://phonetique.free.fr/indexphonvoy.htm

et faites uniquement les exercices sur Y//U  et  I//Y

Bon travail.
Patrick

jeudi 6 mars 2014

haiku


Oh les maisons                                                   
et leur cheminées d'où s'échappent                     
les mauvais sentiments                                       

Carmen                                                               

L'automne m'emprisonne
Sa présence humide
Sur mes paupières

Carmen                                                               

L'aube envahit la chambre                                
on touche sa présence                                         
 la fenêtre se ferme                                             

Carmen

L'homme-sandwich
achète l'or
Sans le sandwich
achète misère

Carmen

Sous les traces des pieds                                                 
le silence sonne                                                 
la nuit tombe sur la neige                                 

Carmen

Quand on ferme une porte              
on attrape
les doigts du silence

Carmen

La figue                                                          

caresse            d'automne                          
larme              d'or sous la figue                  
rouge              dans la bouche                    

Gertrudis                                                   

Petit déjeuner

frisson      du beurre
morceau   de pain dans la poêle 
chanson    parfum du petit matin

Gertrudis                                                     

 
 
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