jeudi 29 janvier 2009

25 - 27 janvier

- Livre p. 36 et 37.
- Photocopie: les adverbes de fréquence.
- Livre p. 38 et 39 ( a et b).
- Initiation à l'impératif. (voir p. 41).
- les verbes à deux bases (partir, sortir, dormir etc.).
- Partir, sortir, se sentir bien, mal: exercice oral.
- Chanson de Françoise Hardy: "comment te dire adieu?"
- A la maison: faire le "4.a" p. 40 du livre.
faire un petit texte sur soi en utilisant les verbes partir, sortir, se sentir...
continuer les exercices d'autoévaluation

lundi 26 janvier 2009

vendredi 23 janvier

- Révision "un, une, des, pas de, (pas) beaucoup de, plusieurs": qu'est-ce qu'un monde idéal pour vous. Un cours de français idéal.
- Parler d'un endroit que vous aimez (à l'oral. Poser des questions pour demander des renseignements sur un endroit).
- Verbes "vouloir et pouvoir" (mimer des phrases: qu'est-ce qu'ils veulent faire?).
- Phonétique livre p. 29.
- exercice p. 25 nº 4 du cahier
- Présentation des exercices d'autoévaluation (p. 33,34,35 du cahier).
- Unité 4 livre p. 36, 37.
- Les verbes de 1.a de la p. 37 (je, tu, il , on).
- À la maison: ex.1 .p 36 et faire à son rythmne les exercices d'autoévaluation (pour les corrections, consulter la photocopie des corrections).
Écrire un texte sur vos bonnes et vos mauvaises habitudes (s'inspirer des pages 36, 37 et de l'exercice).

jeudi 22 janvier 2009

19 / 21 janvier

Révision: un, une, des, pas de , beaucoup de, pas beaucoup de, plusieurs (un monde idéal, pour vous, c'est..., un cours de français idéal, pour vous, c'est etc.).- Correction cahier ex. 7. p. 27.- Auto-évaluation: correction ex. 1 a et b. p. 33. Présentation du dossier "auto-évaluation".- Unité 4: "levez une jambe" : présentation de l'unité (ses objectifs).- Livre p. 36 et 37.- La conjugaison des verbes de 1.A (je, tu, il, elle, on).- Toujours, tous les weeks-ends, ne ... jamais, souvent.À la maison: faire les exercices d'auto-évaluation (je vais distribuer les corrections de ces exercices) p. 33, 34 et 35.- Vos bonnes et vos mauvaises habitudes: parlez de vous en utilisant l'ex. 1a p. 37 du livre.

Sara: exercices de style

EXCERCICES DE STYLE

· Notations
Place Victor Hugo, vers midi. Une femme dans les trente ans, robe de prix et élégant manteau noir, cheveux longs et blonds, avec un air hautain. Elle est en train de traverser la rue quand un jeune en moto lui coupe le chemin. Elle crie et elle l’’ insulte mais il ne s’arrête pas.
Une heure plus tard, je la vois à Notre-Dame. Elle est avec une copine et toutes les deux regardent la vitrine d’un magasin de chaussures. La blonde indique des bottes noires et son amie sourit en approuvant son choix.

· Espagnolade
En plaza Vcito Hugo, verse las doze. Oune femme danse le trente ans, vestite pà barat et elegante mantò nuar, tchevé largues et blondes, avec un aire hautaïne. Elle est traversant la rue quand un yoven en moto le corte le camino. Elle crie et elle lui insult pero el ne se pare pà.
Oune eure mas tarde, ye la vuà à Notre Dame. Elle est avec oune amigue e toutt les dos mire une vitrine d’une tiende de tchaussures. La blonde insegne unes botte nuares et son amigue sonrie apruvan sa eleccion.

· Essentiel
Plaçe Victor Hugo, midi. Femme blonde et élégante traverse la rue mais un motocycliste lui coupe le chemin. Insultes, cries, mais ne s’arrête pas.
Une heure plus tard, Notre-Dame. Blonde avec amie regarde une vitrine. Interêt: des bottes noires.

· Interrogatoire
Où étiez-vous vers midi?
Place Victor Hugo, n’est-ce pas?
Avez-vous vu un motocycliste qui coupait le chemin à une blonde?
Avez-vous remarqué de l’’hostilité entre les deux sujets?
Pouvez-vous démontrer que vous étiez à Notre-Dame à une heure?
Sauriez-vous décrire la personne qui était avec la blonde?
Avez-vous vu ce qu’elles regardaient dans la vitrine?

· Romantique
Plaçe Victor Hugo, à l’heure où le soleil est haut dans le ciel, et la terre s’illumine, brillante. Un ange blond, dont on ne peut voir les ailes, cacbées sous un manteau noir comme la nuit, veut traverser la rue. Ses pieds de princesse commencent à marcher mais…horreur…un diable conduisant une moto lui coupe la rue. Les cheveux blonds sont soulevés par le vent, son parfum arrive jusqu’à moi, j’en suis enivré. L’ange crie: même son cri est doux comme le printemps. Pourtant, sa voix qui souffre traverse mon coeur palpitant. Le diable, indifférent, ne s’arrête pas.
Çela fait seulement une heure que je ne la vois pas, mais je suis déjà tellement malheureux! Soudain, une lumière magnifique dans la foule anonyme: c’est elle! Mon coeur s’arrête.
Elle est avec une amie, qui n’est pas laide mais qui ressemble à une souris près d’une rose. Toutes les femmes du monde ne sont que des souris comparées à cette magnifique creature divine qui a decidé de m’honorer avec sa présence. De son doigt délicieusement allongé, elle indique des bottes noires…ah je vendrais mon pays pour que cet instant, où je peux l’admirer, anonyme, continuât pour l’éternité…ah, je vendrais ma patrie et les choses les plus importantes au monde pour être ces bottes, pour être acheté par elle, et l’accompagner dans le monde…

· Le futur
Reine de carreau: une femme.
Trois de pique: un homme…avec le roi de carreau, ça fait un homme méchant.
Le quatre de pique...ouf, il ya un problème entre les deux...dans une rue (cinq de coeur).
Et voilà...la reine de coeur. Toujours la même femme...reine de trèfle...avec une amie.
Roi de carreau: l’argent. Elles veulent gaspiller de l’argent.

· À composer

Blonde amie cri bottes
Chaussures
Une heure plus tard Moto
noires
midi rue
Notre-Dame magasin

lundi 19 janvier 2009

isabel: exercices de style

Exercices de Style

Notation

Chez le coiffeur, une dame du type mamie, tout juste coiffée. Lorsqu´elle se lève et doit payer, s´adresse à la coiffeuse d´un ton vraiment fâché avec de grands cris et lui dit qu´elle n´aime pas ce qu´elle a fait, et qu´alors elle ne va pas payer le prix du service. La coiffeuse, bouche-bée, s´adresse à son chef qui décide de dire à la dame qu´il est désolé et que donc elle peut s´en aller sans payer.
Le mois suivant, chez un autre coiffeur, la même dame qui rentre. Par chance, une cliente la connaissait déjà et les avertit. On invente une excuse et lui dit de s´en aller.


Pour lezès pagnols

Ye souis alé mé fer cuaffer e ily a cete segnora que a monté un pulé Térriblé a la pouvré couafesse parcéqué la couaffoure quelle a fé né la plú pas un œuf.
La pouvre chica ne sé pá couá fer et le jefe a tutarranjé en lesan la dame senaller de gratis.
La muy chienne é sortí tré contenta, aprés doné un disgust de aoupa a la couaffesse qui ne fesé que gañer son pen.
On l´a vou un muas apré danse oun ôtre cuaffer en montan le meme pulé. Il paré quel lé fé partú le cartier.


Subjectif

Je bosse pour rien ou quoi ? Qu´est-ce que cette petite salope pense, que je suis ici pour perdre mon temps ? Merde alors, si elle veut emmerder quelqu´un, elle pourrait aller se faire foutre elle-même, non ? Ma coiffure lui a pas plu! Ce qu´elle voulait, la putain, c´était se coiffer à l’oeil, c´est clair comme de l´eau de roche, et mon chef m´a regardé comme s´il voulait me tuer… merde, alors!
Quelque plombes plus tard une fidèle m´a raconté qu´elle l´avait vu faire pareil dans le coin. On dirait bien qu´elle veut emmerder toutes les coiffeuses en les faisant travailler gratis, Bordel !

Internet
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Date:
Fri, 9 Jan 2009 21:20:27 +0100
De:
"CoiffuresBelinda" Ver detalles del contacto Yahoo! DomainKeys ha confirmado que este mensaje fue enviado por gmail.com. Más
Sujet:
A tous les coiffeurs du quartier de Salamanca
Principio del formulario
Final del formulario
Méfiez-vous d´une dame petite, âge moyen du type mamie qui va se faire coiffer et après monte tout un cirque afin de ne pas payer.
Refuser absolument de la coiffer et appeler la police.
Photo envoyée en document joint

Photo_personanongrata.pdf
Examiner et garder dans mon PC
var callCount = 0;

Télévisé

Nous sommes chez le coiffeur où ce matin même une dame est venue se faire coiffer et après a presque voulu tuer la coiffeuse parce que, selon cette cliente, elle n´avait pas bien fait son travail. C´est bien ça, Vanessa ?
-Ah, oui, tout à fait, elle est venue, on lui a fait un shampoing, on l´a peigné et puis elle s´est mise à hurler qu´elle allait pas payer pour mon travail. Le chef l´a laissé s´en aller.
-Et vous n´étiez pas au courant qu´elle faisait ça partout dans le quartier ?
-Pour sûr que non !… Sinon on lui aurait rien fait.
- Alors c´est la première fois qu´une chose pareille se passe dans cet établissement ?
-Mais oui, on ne pouvait pas imaginer…
-Incroyable, mais vrai… Et ça a eu lieu ce matin même dans un coin de notre ville… Toute l´information en direct, ici, sur « la 27ème », votre chaîne amie…

Très Adroitement

On ne sait pas ce qui va encore nous arriver! C´est Zapatero le grand coupable parce qu´avant, ça ne se passait pas comme ça. On pouvait aller se faire donner un coup de peigne en lisant « Allo ! » et rien ne se passait de plus grave. Maintenant, il y a partout des gens sans éducation qui vont se faire coiffer sans payer un sou, en criant qu´on ne leur a pas fait ce qu´ils voulaient et qui crient comme des cochons après la pauvre fille qui, Dieu sait, ne faisait que son travail, et ne laissent même pas un centime de pourboire. Ça, c´est pas charitable.
Et il paraît que ça a eu lieu aussi chez un tas de coiffeur dans le quartier de Salamanca. On n´est plus jamais tranquille, on ne peut plus sortir de chez soi. Jose Mari, où es- tu ?

Conte de fées

Il était une fois une princesse déguisée en coiffeuse qui dut peigner sa marâtre parce que celle-ci voulait la faire travailler encore un peu plus que d´habitude.
Après que la princesse lui fit une belle coiffure comme personne ne lui en avait jamais fait, et si belle qu’elle pensait bien qu’elle en serait pleinement satisfaite, la marâtre se mit à crier et à l´insulter parce que cette coiffure était la plus horrible du monde. Il s’en fallut de peu qu´elle ne la batte.
Le prince, déguisé en maître coiffeur afin de trouver une épouse aimée et non imposée par son père, vint à sa rescousse et dit à la marâtre de s´en aller sans payer, parce qu’en fait, il est très riche et qu´il fait ça comme un hobby.
La coiffeuse se mit à pleurer lorsqu´elle constata le grand cœur du prince et tomba follement amoureuse de lui.
Depuis ce jour, la marâtre fut aperçue chez tous les coiffeurs du royaume, sans jamais trouver une coiffure qui lui plaise.
La coiffeuse et son prince se marièrent peu après et vécurent très heureux dans son palais en se faisant des coupes très à la page et en se brossant les cheveux l´un à l´autre ainsi qu’à leurs nombreux enfants.

dimanche 18 janvier 2009

isabel: complainte de "la Maja"

LA COMPLAINTE DE LA MAJA

Oui, je suis une célébrité, je le sais, et on vient me rendre visite de très loin, mais… Vous croyez vraiment que c´est intéressant d´être un personnage très connu et de vivre dans la galerie principale d´un des Musées du monde les plus connus, entourée aussi de célébrités? Vous le croyez vraiment ?
Passer toute votre vie à ne rien faire d´autre que s’étendre contre un tas d´ oreillers et être admirée par tous les gens qui passent. Je vous le dis, ça n´est pas agréable du tout. Absolument pas. C´est un des emplois les plus ennuyants sur la terre. Vous ne pouvez pas sortir le jour quand il fait beau pour faire un tour dans le coin ou au Retiro qui est tout proche. Vous ne pouvez pas aller voir les collègues du Reina Sofia ou du Thyssen qui est juste de l´autre coté de la rue. Vous ne pouvez pas flâner lors des soldes du Corte Inglés. Bien sûr, lorsque le Musée est fermé, je pourrais aller rejoindre les « majos » qui jouent à colin-maillard ou prendre un verre dans la Pradera de San Isidro… mais telle quelle ? À poil ? La police me poursuivrait tout de suite.
Et puis… on est toujours entourée des mêmes voisins, on se connaît fort bien et on n´a plus rien d´intéressant à se dire. Il y a des ressentiments et des bagarres, les unes contre les autres. Celle que je déteste spécialement c´est ma jumelle vêtue… pourquoi est-elle vêtue et moi pas, hein ??? Pourquoi, Monsieur Goya ? Qu´est- ce que j´ai fait pour mériter un tel châtiment? Tout le monde raconte des choses sur moi, je le sais, et il y a des commentaires très, mais très, malicieux.
Il y a aussi tous ces gens qui vous observent d´un regard lascif et qui vous critiquent « Cari, d´après tout ce que l´on dit d´elle, je croyais qu´elle serait plus belle » disait l´autre jour une grosse mamie à son chauve de mari. Ou « son corps, y pas de quoi lancer des feux d’artifice, non?» disait une jolie jeune femme, et son fiancé a répondu « C´est le tien que je préfère, ma chérie ». Merde alors ! J´ai même entendu un critique avec l´air d´intello qui disait que mon corps ne correspondait pas à mon visage… Quelle connerie ! Qu´est- ce que tous ces gens ont à foutre ici ? Tout ce que vous voyez, c´est à moi, c´est clair ?
Et je ne veux pas parler des explications que donnent les guides aux gens très peu intéressées et fatigués à mourir!!! Ça fait du bruit ! On ne peut pas se reposer ! Mais quand j´ai osé remplir le questionnaire C5 (pour les plaintes, après tout je ne suis qu´une fonctionnaire) on m´a dit que je me plains parce que je n´ai rien d´autre á faire. On n’a pas de liberté d´expression ici. C’est le bagne, ici et Cayenne, c’est rien à côté du Le Prado !!! Je vous le dit, alors je crois que je vais me mettre en grève un de ces jours avec « Les Trois Grâces » de Rubens, oui dans la salle de peinture italienne, parce que dans cet ancien bàtiemnt les courants d´air sont terribles.
Puisque c´est l´heure des plaintes je vais en profiter et vous confesser un autre de mes soucis : je ne peux jamais changer l´expression de mon visage… Non jamais, c´est comme ça. Je dois toujours avoir ce demi-sourire plaisant… comme une sotte.
Mais j´ai mon secret à moi… je suis amoureuse, oui… on se sent si seul qu´on… bon, on doit penser à quelque chose de bon. Et, qui c’est le mec ? Ça, je le garde pour moi, mais je vous donne des pistes : il est brun et il est habillé avec une grande cape… et j´en profite pour vous le dire une fois pour toutes : Je ne suis pas enceinte !!! On croit que, comme je suis nue, je suis une pute… Ça non, messieurs dames, je suis une femme décente.
Maintenant vous me connaissez un peu mieux, alors je… Ah non ! Oh, là, là… Voilà les japonais qui arrivent… les premiers comme toujours… mais aujourd´hui, ils sont en retard d´une minute.
Veuillez m´excuser, j´ai du boulot à faire. Un vrai plaisir et merci de m´avoir écouté.

sara: sous ta bouche

SOUS TA BOUCHE
Pas seulement ta bouche mais des dents sous ta bouche
Pas seulement des dents mais un café sous tes dents
Pas seulement un café mais une table sous un café
Pas seulement une table mais ta main sous une table
Pas seulement ta main mais mes doigts sous ta main
Pas seulement mes doigts mais un anneau sous mes doigts
Et, au dessus de l’anneau,
Le monde
Qui
Est
À nous.

mardi 13 janvier 2009

Isabel

Un cornet de glace

C´est un des plaisirs de la gourmandise.
Un luxe sensuel quand on introduit la pointe de la langue dans la montagne de crème froide et onctueuse. Et tout cela pour 3 euros ou moins.
L´été, une fois de plus, est arrivé. Les trottoirs crachent du feu, la sueur mouille les minuscules t-shirts. On ne peut pas avoir faim mais on ne dira jamais « non » à un tel délice.
Quand on est un enfant, c´est une fête ou la récompense de la sagesse : simple vanille, chocolat, fraise… Quand on grandit, c´est le plaisir pour le plaisir lui-même : Tiramisu, after-eight.
Il y a le cornet romantique en noir et blanc de la princesse et le journaliste américain à côté de la Fontaine de Trevi. Le cornet communautaire que l´on partage, ou le cornet en larmes que l´enfant laisse tomber sur ses vêtements, et dont on peut voir les restes collants autour de sa bouche.
Les établissements sont toujours petits mais blancs et lumineux comme un hôpital. L´hôpital d´urgence pour les dépressifs. L´attention et la vue se précipitent sur les caisses en acier pleines de couleurs pastel qui comprennent toute la diversité de l´arc-en-ciel, comme un échantillon dans un magasin de peintures, chacune plus attirante l´une que l ´autre, chacune avec sa petite carte de visite posée devant : « Monsieur Tutti-frutti » le galant italien, « Mademoiselle Straciatella » la belle demoiselle, « Monsieur raisins au rhum » le professeur sérieux.
Avec qui veut-on danser ? On a toujours du mal à se décider, mais il faut le faire : Une boule ou deux ? Un seul parfum? Plusieurs? Seul ou avec des « extras » ? Copeaux de chocolat ou amandes pilées ? Tout cela ne fait qu´augmenter le désir et puis notre décision est posée devant nous, remplie dans un cornet en gaufrette. On réagit comme le chien de l´expérience de Paulov. La petite cuillère en plastique sera bientôt méprisée après avoir accomplie son destin qui est contenir un peu le débordement afin de ne rien gaspiller. En oubliant les normes de la politesse, la langue est prête à lécher. Jouissance suprême : l´écume douce fond dans la bouche. Un cornet, on en profite lentement. Si on est un expert, petit à petit, on se retrouve à la fin avec le petit bout encore plein. Allez hop ! La fête est finie. Demain on trouvera maintes excuses pour s´en offrir une autre.
 
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