samedi 28 février 2009

27 février

- Travail par groupe: présentation des nouveaux et des anciens étudiants.
- Révision des bonnes et des mauvaises habitudes.
- Les adverbes de fréquence (voir photocopie).
- Il faut, il ne faut pas: Pour être heureux en amour, il faut ..., il ne faut pas ...
- Révision des verbes: pouvoir, vouloir, partir, sortir et dormir (jeu avec des dés).
- Livre ex. 3 p. 39 et 5 p. 40 (à finir)
- Chanson: Sur le pont d'Avignon (livre p. 35).
- Pour tout le monde et pour les nouveaux spécialement: revoir livre p. 36 à 39 et revoir l'impératif p. 113.
- À la maison: - Trouvez d'autres causes de stress.
- Écrire un texte sur "moi et le stress" (Mon degré de stress. Pourquoi? comment je lutte contre le stress ...).
- Cahier d'exercices: 2 p.26, 3 p.37, 5 et 6 p. 38

jeudi 26 février 2009

23-25 février

-Révision: donner des conseils (c'est // il est utile DE + verbe à l'infinitif).
- Livre p. 42,43: Lecture des fiches "dix attitudes pour mieux vivre".
- Photocopie sur les verbes Prendre, apprendre et comprendre (voir livre p. 40).
- Poser des questions: voir livre p. 112 et p. 131 et 132.
- Concours: poser huit questions sur ce que nous avons fait en cours (grammaire, vocabulaire et civilisation).
- À la maison: - Donner des conseils pour mieux vivre (amusants si vous les avez faits sérieux en cours et vice versa).
- Exercice p. 40 11 et 12.
- Répondre au minimum à cinq questions de la photocopie sur les verbes prendre, apprendre et comprendre.

jeudi 12 février 2009

9-11 février

- Correction des exercices et révision de l'impératif et du verbe "devoir".
- La préposition "À": aller au cinéma, aux Pays-bas, à la médiathèque, à l'opéra: exercice oral: vous allez souvent à l'opéra? ....
- Révision de "il faut" : voir photocopie sur les proverbes français (ex: il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger"...).
- Livre ex. 3. p. 29 (a et b).
- Chanson: "Déshabillez-moi" de Juliette Gréco.
- Trouvez des questions pour un concours sur la grammaire, l'orthographe et la civilisation françaises.
- À la maison: pensez à faire les exercices d'autoévaluation p. 33 et suivantes.
Faire l' exercice p. 36 2.Faire tous les exercices du cahier que nous n'avons pas encore faits (unité 1,2,3).
Vérifiez dans le blog les devoirs que vous n'avez pas faits.

9-11 février

- Correction des exercices et révision de l'impératif et du verbe "devoir".
- La préposition "À": aller au cinéma, aux Pays-bas, à la médiathèque, à l'opéra: exercice oral: vous allez souvent à l'opéra? ....
- Révision de "il faut" : voir photocopie sur les proverbes français (ex: il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger"...).
- Livre ex. 3. p. 29 (a et b).
- Chanson: "Déshabillez-moi" de Juliette Gréco.
- Trouvez des questions pour un concours sur la grammaire, l'orthographe et la civilisation françaises.
- À la maison: pensez à faire les exercices d'autoévaluation p. 33 et suivantes.
Faire l' exercice p. 36 2.
Faire tous les exercices du cahier que nous n'avons pas encore faits (unité 1,2,3)

vendredi 6 février 2009

5-3 février

- Phonétique fin des exercices p. 29.
- Révision des verbes à l'impératif (voir livre p. 41 et 113: l'impératif). Cf la photocopie sur les ordres donnés à un enfant.
- Livre ex. 2.c
- Livre: ex. 3 (a et b): faire un questionnaire pour décider si quelqu'un est sportif ou pas.
- Donner des conseils à quelqu'un: impératif, il faut et le verbe "devoir". Voir livre p. 112 et 113

- À la maison: exercices p. 36 nº 2, p. 37 nº 3, p. 38 nº 5 et6.
Êtes-vous sportif ou pas? Écrivez un petit texte pour répondre à cette question.

mardi 3 février 2009

Isabel: le voleur (suite)

LE VOLEUR suite

Tandis que le voleur se pressait pour rentrer dans sa cachette en France, Madeleine Garcia, dite Lena, marquise de Montesquieux languissait, paresseuse, dans son grand lit en bois doré, garni d´un ciel de lit en broché couleur lavande assorti au couvre-lit qui était vraisemblablement tombé quelque part sur le sol couvert d´un épais tapis persan. A vrai dire, toute la chambre semblait avoir été envahi par une troupe de singes. Une telle pensée la fit sourire tandis qu´elle s´étirait pour détendre ses muscles. Le soleil filtrait entre les rideaux et elle était sûre que la femme de chambre était en train de se demander ce qu´elle devait faire avec le petit déjeuner, servir le plateau ou le retourner à la cuisine afin de le réchauffer.
- C´est ton devoir, petite sotte. Et après, tu verras comme c´est dur de remettre cette chmabre en ordre. Mais, c´est ton destin d´être femme de chambre, et d’ en avoir une, c´est un de mes privilèges comme marquise, et ça m´a coûté bien cher en temps, en argent mais aussi en dignité. C´est pour cela que je suis ici tout en haut et toi, tu es là tout en bas.
Faisant un effort, elle se recoucha entre les coussins en baptiste brodés et ornés de dentelles et pencha son bras nu pour prendre sa robe de chambre quand, soudain, elle se souvint qu´elle n´allait lui servir à rien puisque Jean Damien l´avait laissé en lambeaux après son passage.
-Mille démons de l´enfer. Une nuit digne de s´en souvenir toute la vie. Ça faisait longtemps qu´elle ne jouissait pas d´une nuit pareille et juste à ce moment-la elle se rendait compte de combien ça lui manquait. Bon, quelquefois être marquise a ses petits inconvénients, se dit-elle. Tout de même ce vilain coquin de Jean Damien devenu un cul-terreux irlandais était encore comme un ouragan dans un boudoir, ou mieux encore, comme une troupe de singes en chaleur. Elle rit à nouveau avec envie, sans prêter attention a sa conduite peu élégante, mais ce petit détail manquait d´importance. Ce qui avait une vraie importance, c´était que ses plans suivaient leur cours selon le cours prévu.
Étouffant un bâillement, elle se tordit à nouveau et pris la sonnette pour appeler la femme de chambre qui arriva seulement quelques minutes après.
Elle ouvrit la porte et fit une petite révérence.
-Bonjour madame la marquise. Vous avez bien dormi ?
Au moins, elle l´appelait madame la marquise, comme elle même lui avait ordonné de le faire. L´entendre lui donnait autant de plaisir que… bon… Oui, elle était madame la marquise, et quoi ? Ça ne faisait que démontrer qu´elle pouvait atteindre tout ce qu´elle se proposait.
-Alors vous avez bien dormi ? demanda la jeune fille avec un air moqueur, tandis qu´elle commençait à ramasser la robe de chambre déchirée et pensait que, comme prévu, sa maitresse avait passé une nuit très agitée.
-Comme un vrai poupon, Marie –répondit-elle en riant de sa réponse, mais elle était de bonne humeur et elle se trouvait radieuse et drôle.
La servante lui offrit une robe de chambre toute neuve qu´elle venait de sortir d´un tiroir.
-Est-ce que madame désire un bain? Je le lui prépare en un rien… Monsieur a pris le petit déjeuner bien tôt et vient de sortir dans son carrosse favori.
Alors, tant mieux pour lui s´il est parti de bon matin, pensa la dame sans prêter attention au bavardage de sa femme de chambre, occupée à donner toute sorte de détails sur la vie du marquis qui ne l’intéressaient pas du tout. Ni ses activités ni lui, puisqu´elle avait réussi à faire reconnaître son titre.
Elle se leva en faisant un grand effort, mis sa robe de chambre rouge feu ainsi que ses pantoufles ornées d´un pompon en plumes. Puis elle se dirigea vers sa coiffeuse devant laquelle elle releva sa chevelure noire comme du charbon qui arrivait jusqu´à la ceinture, une partie de son héritage espagnol. Magdalena Garcia, tel était son vrai nom. Oui, sa figure était aussi radieuse que son esprit. Elle avait déjà dit qu´il n´y a rien comme une bonne nuit de passion pour embellir une femme. Elle laissa échapper un soupir sans s’en rendre compte et jeta un coup d’œil à l’endroit où le collier avait été hier. Il n´y était plus bien sûr.
-Laisse. T´occupes pas du lit maintenant. Tu feras ça après quand tu auras plus de temps- ordonna-t-elle. Maintenait apporte-moi le plateau du petit déjeuner.
La servante laissa la chambre un instant pour apparaitre à nouveau avec le plateau qu’elle posa sur une petite table en marqueterie. Puis elle versa du café dans une petite tasse en porcelaine de Limoges.
-Maintenant va préparer mon bain, il faut voir si je peux me débarrasser de cette paresse.
Elle s´assis et pris la tasse. Comme elle commençait à se sentir bon appétit, elle mordit un morceau de brioche avec des raisins secs dedans
Non, le collier ne se trouvait pas à sa place, mais ç’était prévisible. Elle connaissait fort bien les faiblesses de Jean Damien du Ponterre et il avait démontré qu´il ne pouvait pas résister à une telle tentation. Elle avait gagné cette partie du jeu. Le collier, vraiment ,ça n´importait pas du tout puisque´elle en avait des tas, mais c’était la première étape de son plan.
Il avait été toujours un maître voleur, et dans sa bourse on pouvait trouver une quantité de coeurs féminins, le sien inclus, mais en ce temps-là, comme lui, elle n´était qu´une fille mais maintenant, ah!, elle avait appris comment contrôler ses sentiments, et spécialement, ceux amoureux. Elle soupira à nouveau en finissant le reste de la brioche et en buvant le reste du café.
«De putain à Madame la Marquise, C´est pas mal », se dit-elle en s´approchant à nouveau du lit. Puis elle mit sa main entre les dentelles d´un oreiller et en tira avec deux doigt une petite dague.
-Tu es malin mais je le suis encore plus. C’est pour ça que j´ai grimpé tandis que toi, tu es descendu.
Et ce qui lui plaisait encore plus, c´était que ce vieux gâteux de son mari avait été le coupable de la ruine de la famille qui habitait Belle Loire et son plus fier ennemi. Ah, les détours de la vie. Elle mit la dague dans le même tiroir que sa lingerie et s´allongea à nouveau très fière d’elle-même.
-Alors voilà la première partie de mon plan qui est accomplie… Tu m’as déçu une fois mais qui rira bien qui rira le dernier. Mais… qu’est-ce qui se passe avec ce bain, il n´est pas encore prêt, petite sotte- se plaignit- elle. C´est pour aujourd´hui ou pour demain, c’est clair?

Isabel: Journal intime

JOURNAL INTIME

Le 8 Décembre

Après tous les problèmes concernant les billets et les visas, le passeport, et les bagages, je me trouve enfin sur le pont du « Princesse Louise ».
Les familles qui sont venues dire au revoir sont restées à terre et nous saluent en agitant des mouchoirs blancs. On les voit, de plus en plus petites, sur le quai de Marseille.
En face, du bleu partout. Les musiciens continuent à jouer des valses de Strauss afin d´égayer notre départ. Il le faut, mais il n´y réussissent pas puisqu’ il y a beaucoup de monde qui pleure. J´en ai envie, mais garde mes larmes pour une autre occasion.
Je regarde mes compagnons de voyage : des anglais la plupart et quelques français, des colons, des militaires, et peut-être des fonctionnaires, comme moi.
Ma petite aventure à moi vient de commencer.


Le 9 Décembre

Il y a 24 heures que j´habite dans cette maison flottante sur la Méditerranée.
Je n´ai rien à faire de fatigant mais je me trouve un peu fatigué… l´énervement de ces derniers jours qui me fait payer son dû, peut-être le soleil, et les mouvements de la mer. On se dirait dans un berceau.
Ma cabine individuelle de première classe donne sur le pont. Elle est un peu petite, et le lit plus étroit que je ne pensais mais suffisamment grand et bien pour ma claustrophobie.
Concernant mes relations sociales avec les autres voyageurs, j´échange quelques mots courtois lorsqu´on se retrouve sur le pont et avec mes compagnons de table, hier soir au diner où nous avons été accueillis par le commandant. Il a fallu mettre nos vêtements de gala, alors j´ai mis mon smoking tout neuf. Puis il y a eu un bal pendant lequel les musiciens ont joué… oui, des valses de Strauss. Je n´ y suis resté qu´une demi-heure. J´ai fait une promenade sous la lune et suis allé me coucher.
Mon lit était déjà préparé pour m´accueillir et j´avais même un bonbon à la menthe sur l ´oreiller.

Le 10 Décembre

Me voilà, avec le Vésuve à ma droite, dans le port de Naples où nous sommes arrivés ce matin même après une nuit très mouvementée. J´ai voulu mourir. La mer a fait sauter le bateau comme si c´était une balle et la plupart des passagers et moi, avons eu le mal de mer. Je n´ai rien dormi et je n´ai commencé à prendre quelque chose à manger qu´à l´heure du repas.
On m´a dit que ce matin, lorsque le soleil se levait, la vue d´Ischia était merveilleuse. Dommage !
Après notre arrivée, j´ai décidé de me joindre à d´autres voyageurs pour aller faire un petit tour dans les ruines de Pompéi. Merveilleuses ! Je dois revenir avec un peu plus de calme. Lorsque j´ai mis pieds à terre, je me suis trouvé beaucoup mieux. Être marin, ce n´est pas mon destin, c´est sûr.
Pendant la visite, j´ai connu un jeune anglais qui va rejoindre ses parents en Inde. Il s´appelle Sidney Greenstreet et a passé deux années à étudier à Cambridge.
Une fois sur le bateau à nouveau, nous avons décidé de faire un tour de Naples l´après-midi. Que les italiens sont beaux ! Brus et avec de grands yeux noirs! Le bateau partira à 6 heures. Je pense que nous avons assez de temps.
Je ne fais que penser à une autre nuit, comme cette dernière… Mon Dieu, non, je t´en pris !

Un peu plus tard…
Au revoir Naples, au revoir le Vésuve. Bonjour Capri et Sorrento sur le pont avec d´autres jeunes gens. On commence à se connaître et à nouer des amitiés.
Sidney a fait de son mieux pour changer de table au restaurant et maintenant, nous dinerons ensemble. Demain, ce sera le détroit de Messina et la Sicile.

Isabel: textes brefs

PORTRAIT

Il était “Le fils à papa” et a suivi ses pas, bien qu´il ait été encore moins doué que lui pour le même emploi.
Ils avaient le même nom (G. B) mais le petit a fait encore plus de bêtises que le grand Il a été encore plus arrogant, plus « inutile » et plus bon à rien, mais il a été bon à faire croire aux autres qu´il connaissait ce qu´il avait entre les mains.
Menteur, tricheur, tueur, méchant… et tout cela pour, un peu plus longtemps, s´asseoir sur le siège du pouvoir. Maintenant il est parti, Dieu merci. Il élève des vaches à Texas. Je ne voudrais pas être dans leur « ass ».

ADIEU

Je donne et toi, tu prends. Je pense que c´est toujours moi qui fais marcher notre rapport. Je m´y suis engagée de toutes mes forces, tandis que toi, tu laisses courir. Bien. Maintenant c´est fini, j´en ai marre et je n´ai pas les forces nécessaires pour continuer, alors, comme toujours, j´ai été obligée de prendre la décision finale.
Tu en trouveras une autre qui t´aimera autant que tu le mérites.


HISTOIRES COURTES

Beauté
On lui avait fait croire que ça suffisait d´être belle. Maintenant, on a dit qu´elle n´a rien fait de sa vie.

Rêves
Elle songeait à se marier et à avoir des enfants. Maintenant, elle voudrait sortir chaque jour de chez elle pour aller travailler.

Changement
Il avait changé son billet de train et pris l´avion. On cherche encore des survivants.

lundi 2 février 2009

vendredi 30 janvier

Attention: le module A.1 est fini. Nous recommençons les cours et le module A2.1 le 20 février (voir le site: ifmadrid.com: cursos: calendario).

- Révision des verbes "pouvoir" et "vouloir".
- Qu'est-ce que vous pouvez déjà faire en français? //qu'est-ce que vous ne pouvez pas encore faire?
- Les verbes à deux bases: partir, sortir, se sentir bien (cf. photocopie et livre p. 40: verbes à deux bases phonétiques)
- Révision des bonnes et des mauvaises habitudes.
- Correction de l'exercice 1. p. 36 du cahier
- Les adverbes de fréquence (voir photocopie).
- Livre p. 38 et 39 (les parties du corps)
- Initiation à l'impératif et utilisation de "il faut" "il ne faut pas".
- Fait ex. 4 p. 40 du livre.

À la maison: cahier: p. 36 nº 2, p. 37 nº3 et p. 38nº 5 et 6.

Pendant la "pause" revoir l'ensemble des unités et faire les exercices que nous n'avons pas faits.
 
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