mardi 11 février 2014

Manuela Exercices de style


EXERCICES DE STYLE

 

 

NOTATIONS.

 

Neuf heures du matin. La classe commence. C'est l'école maternelle. Le ciel gris menace la pluie. La maîtresse explique aux enfants l'impossibilité de sortir dans la cour pour jouer ce jour-là. Il faudra rester sous le préau.

Onze heures. La sonnette annonce la récréation. Il pleut. Les enfants laissent leurs travaux. Ils sortent dehors et ils courent partout. Ils sont tous mouillés. La maîtresse crie hystérique: « Je vous avais prévenus de rester sous le préau! ». Les enfants s'arrêtent. Ils demandent: « Mais mademoiselle, qu'est-ce que c'est le préau? ».

 

NEGATIVITÉS.

Ce n'était ni un lycée ni une université mais une école maternelle. Le soleil ne brillait pas dans le ciel. Les nuages n'avaient pas du tout un air innocent. La maîtresse n'avait jamais caché aux enfants ni le risque de la pluie ni le besoin de rester sous le préau.

La sonnette n'a pas annoncé l'heure de la sortie mais celle de la récréation. Les enfants n'ont pas suivi les instructions de la maîtresse. Aucun d'entre eux n’est resté sous le préau. Ils n'avaient jamais entendu parler de préaux. La maîtresse n'était ni tranquille ni contente mais pas mal hystérique. Elle n'avait jamais travaillé avant dans une école avec un préau. Les enfants étaient tous trempés. Ils ne l'avaient pas fait exprès. Elle non plus.

 

SUBJECTIVITÉS.

Je vais à l'école avec maman. Je suis content, je ne pleure plus parce que maintenant j'ai des amis et j'aime Mlle Sylvie, ma maîtresse. Aujourd'hui maman m'a mis mes bottes imperméables. Je suis arrivé dans la salle de classe, j'ai dit bonjour à tout le monde et je me suis assis sur mon coussin. Quand tous les copains sont arrivés, la maîtresse nous a parlé. Elle parle beaucoup ma maîtresse! Elle nous a dit qu'il pleuvrait ce jour-là et pour cela on ne pourrait pas sortir dans la cour. On serait obligés de rester dans un autre lieu dont je ne me souviens plus le nom.

Mais elle a dû changer d'avis parce que, quand on a entendu la sonnette, elle a ouvert la porte de la classe et elle nous a conduits jusqu'à la sortie comme tous les jours. Nous étions contents parce qu'il pleuvait et que la cour était pleine de flaques où sauter. On s'amusait bien mais, soudain on a entendu la voix de Mlle Sylvie qui criait. Elle était vraiment fâchée. Elle répétait tout le temps ce mot qu'elle nous avait dit avant dans la salle de classe. Et nous..., nous ne comprenions pas pourquoi est-ce qu'elle nous grondait!

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